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Le phare

L’existence même d’un centre de ministère rwandais appelé « Le Phare » symbolise la Rédemption. Ce centre est situé sur un terrain où, durant le génocide de 1994, le président d’alors possédait une résidence cossue. Cette nouvelle structure résulte toutefois du travail des chrétiens qui l’ont érigée en guise de rayon de lumière et d’espoir. Le complexe du Phare abrite un institut biblique visant à former une nouvelle génération de leaders chrétiens, ainsi qu’un hôtel, un restaurant et d’autres services communautaires. Des ruines mêmes de cette maison présidentielle, Dieu a fait jaillir une nouvelle vie. Ceux qui ont construit Le Phare voient en Jésus leur source d’espoir et de rédemption.

Gratuit, mais coûteux

Si vous avez l’argent nécessaire, vous pouvez acheter presque tout ce que vous désirez. Selon Michael Sandel, auteur de What Money Can’t Buy (Ce que l’argent ne saurait acheter), une personne seule à bord de son véhicule peut acheter un accès à la voie de covoiturage pour 8 $, un prisonnier peut obtenir une cellule de prison plus confortable pour 90 $ la nuit, on peut se procurer un billet grâce auquel on sera à la tête de la file d’attente dans un parc d’attractions pour 149 $, le numéro de téléphone cellulaire de son médecin pour 1 500 $ et le droit de chasser un rhinocéros noir en voie d’extinction pour 250 000 $. Oui, l’argent met presque tout à notre disposition…

Le prix d’entrée

Chaque année, quelque deux millions de personnes visitent la cathédrale Saint‑Paul de Londres. Cette visite en vaut largement le prix d’entrée pour voir la magnifique structure que Sir Christopher Wren a conçue et érigée vers la fin du XVIIe siècle. Le tourisme vient cependant au second rang dans ce lieu d’adoration chrétienne. La cathédrale a pour mission première de « permettre aux gens dans toute leur diversité de faire l’expérience de la présence transformatrice de Dieu en Jésus‑Christ ». Si vous désirez visiter l’édifice et en admirer l’architecture, vous devez payer un prix d’entrée. Par contre, pour assister à l’un des cultes d’adoration quotidiens, l’entrée à Saint‑Paul est gratuite.

Complètement bon

Il y a quelque temps, je regardais un bulletin de nouvelles dans lequel on parlait d’un vol abattu par un missile, et mon coeur s’est serré. Pourquoi des gens voudraient-ils mettre fin à la vie de 298 personnes sans raison ? Pourquoi ? Ce simple mot de huit lettres demeure à la source de toutes nos expériences de douleur et de souffrance. Il subsiste et nous hante au point où notre foi et notre compréhension entrent en conflit.

Les emplettes avec Liam

Mon fils aime cueillir des pissenlits pour sa mère. À ce jour, elle ne s’est pas encore lassée de les recevoir. Les mauvaises herbes pour un homme sont des fleurs pour un petit garçon. Un jour, j’ai amené Liam faire des emplettes. Tandis que nous passions à toute allure devant le rayon des fleurs, il a montré du doigt avec enthousiasme un bouquet de tulipes jaunes. « Papa, tu devrais prendre ces pissenlits pour maman ! » m’a‑t‑il lancé. Son conseil, qui m’a bien fait rire, a aussi fait l’objet d’un très bon affichage sur la page Facebook de sa mère. (Soit dit en passant, j’ai acheté les tulipes.)

Fin heureuse

Un ami m’a raconté la fois où il regardait le football à la télévision et sa jeune petite‑fille jouait près de lui. En colère contre le mauvais jeu de son équipe, il a saisi la première chose qui lui est tombée sous la main et l’a jetée par terre. C’est ainsi qu’il a cassé le jouet préféré de sa fillette, lui brisant le coeur du même coup. Mon ami a immédiatement serré sa fille dans ses bras et lui a demandé pardon. Il a remplacé le jouet et il a cru que l’affaire était réglée, mais il ignorait à quel point sa fureur avait apeuré sa petite de 4 ans et elle ignorait la profondeur de son propre chagrin. Avec le temps, toutefois, elle a fini par pardonner à son père.

Les prémices

Jean a commencé un nouvel emploi. Lorsqu’il a reçu son premier chèque à la fin du mois, il a voulu célébrer en me payant à diner. Pendant le repas, il m’a dit que son premier chèque de paie était ses « prémices ». Il avait un coeur reconnaissant et désirait en redonner une grande partie à Dieu.

CE QUE L’ARGENT NE PEUT ACHETER

Il y a des choses que l’argent ne peut pas acheter – mais ces temps-ci, elles sont rares », de dire Michael Sandel, auteur de Ce que l’argent ne saurait acheter. On peut s’acheter une cellule de prison plus confortable pour 90 $ la nuitée, le droit d’abattre au fusil un rhinocéros noir en voie d’extinction pour 250 000 $ et le numéro de portable de son médecin pour 1 500 $. On dirait que « presque tout est à vendre ».

UN CONTEUR

Durant les années qui ont suivi la guerre de Sécession (1861-1865), Lew Wallace, alors major général de l’Union, était gouverneur des territoires du Nouveau-Mexique, un État que les Américains n’avaient pas encore admis dans la Confédération. Le travail qu’il a accompli à cette époque l’a amené à côtoyer de nombreux personnages de l’histoire presque mythique du Far West, y compris Billy the Kid et le sheriff Pat Garrett. C’est là que Wallace a écrit ce que certains ont appelé « le livre chrétien le plus influent » du XIXe siècle : BenHur : A Tale of the Christ (Ben-Hur : un récit du Christ).

La restauration

Après avoir subi une chirurgie mineure au genou, je n’étais pas préparée à l’importance de la thérapie nécessaire pour retrouver mon amplitude de mouvement. Selon mon physiothérapeute, l’intervention chirurgicale avait causé un traumatisme à ma jambe, et mes muscles s’étaient affaiblis. Des années d’efforts physiques ont été réduites à néant en 20 minutes. Mais je devais m’engager dans le processus de guérison. Certains jours cela devenait fastidieux, et d’autres fois c’était carrément douloureux. Mais le choix était clair : soit je persévérais dans la douleur jusqu’à la guérison, soit je l’évitais et restais infirme pour le reste de mes jours.